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Producteurs et productrices bio de la Mayenne.

Rejoignez-nous samedi 2 mars à 10h, au marché de Laval pour défendre ensemble le droit à une alimentation de qualité et un maintien des normes environnementales !

Suspension du plan Ecophyto, enveloppe de soutien à la bio insuffisante, déréglementation des OGM, ces dernières nouvelles sonnent comme une menace pour la transition agricole écologique dont la bio est l’étendard ! Parce que tout le monde veut bien manger, les agriculteurs et agricultrices biologiques se mobilisent aux côtés de leurs consommateurs pour faire entendre une voix d’espoir et d’envie pour un avenir agricole écologique et se donnent rendez-vous le 2 Mars prochain à 10 heures au marché de Laval.

Redonnons du pouvoir à notre alimentation

Malgré tous les bénéfices qu’elle apporte en termes de qualité de l’eau, de santé publique, de préservation de la biodiversité, l’agriculture biologique subit de plein fouet la crise économique et la baisse du pouvoir d’achat alimentaire des ménages. Tout le monde veut bien manger, encore faut-il savoir comment le faire et en avoir les moyens. Les paysans Bio font donc appel à leurs fidèles consommateurs pour porter la voix d’une agriculture essentielle à la transition.
Ensemble, nous allons faire valoir notre droit à une alimentation saine et durable, pour toutes et tous.

Un événement convivial pour rappeler l’importance de la bio

Alors que le Salon International de l’Agriculture a ouvert ses portes, il est essentiel de remettre au cœur des préoccupations la qualité de notre alimentation. C’est pourquoi le CIVAM bio Mayenne vous donne RDV 2 Mars, à 10h, au marché de Laval (au niveau des producteurs bio) pour une dégustation de produits bio … L’occasion d’échanger sur le rôle de l’agriculture biologique et l’importance de la soutenir par tous les moyens.

Nous demandons

  • Un plan d’urgence de 271 millions d’euros : c’est le montant chiffré conjointement par toutes les organisations agricoles pour maintenir les 60 000 fermes bio en bio et les aider à passer la crise économique ;
  • La réorientation des aides de la politique agricole commune vers les agriculture vertueuses sur le plan environnementale en revalorisant l’écorégime bio à 145€/ha/an pour rémunérer les services environnementaux rendus ;
  • Un vrai plan d’action pour encourager la consommation de produits de qualité avec le respect des engagements de 20% de produits bio en restauration collective privée et publique, mais aussi un coup de pouce conso durable pour les plus modestes ;

La transition agroécologique ne sera possible que si elle est encouragée, elle ne peut pas être supportée uniquement par le monde agricole.

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