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CONTENU

2 journées de formations sur les thèmes identifiés par le groupe. Exemples : désherbage mécanique, comprendre et gérer des sols vivants, le travail du sol, amélioration de la fertilité des sols, les cultures de diversification… 

  • Un rdv diagnostic sur la ferme 
  • Une journée de conception du système 
  • Une journée avec un expert de la thématique 


OBJECTIFS
Le projet a pour but de faire monter en compétences et connaissances le groupe d’agriculteurs sur la connaissance de leur agro écosystème, par exemple l’accueil d’auxiliaires de cultures pour limiter les invasions de ravageurs et les pertes économiques associées. 

Trois axes de travail : 

 1) CONNAITRE et COMPRENDRE : monter en compétences et en connaissances sur la biodiversité associée à l’exploitation agricole 

Dans un premier temps, il s’agit de connaitre et savoir reconnaitre la biodiversité de l’exploitation agricole. Qu’elle soit « utile » ou non aux activités agricoles. Cela nécessite des connaissances générales sur le fonctionnement des agro écosystèmes. 

Dans un second temps, il s’agit de connaitre les pratiques qui favorisent des auxiliaires choisis (en fonction des ravageurs ciblés). 

En agriculture biologique, il n’existe que très peu de solutions curatives pour maitriser ces ravageurs. Une culture peut donc être totalement détruite sans leviers d’actions. Des pertes économiques sèches sont subies par les agriculteurs. Seul la prévention et la mise en place de pratiques agroécologique (environnement favorable aux auxiliaires) semble être une solution. Cela nécessite de monter en compétences et d’intégrer des connaissances liées à l’écologie et au fonctionnement écologiques des auxiliaires et des ravageurs dans l’agro écosystème. 

 2) AGIR : mettre en place des pratiques agricoles, des aménagements pour favoriser la biodiversité, et plus spécifiquement des auxiliaires de cultures 

Pour favoriser cette biodiversité utile, il est nécessaire de fournir le gite et le couvert à ces insectes (entre autres).  Par exemple, certaines plantes sont plus pertinentes pour accueillir les chrysopes, et afin de maximiser leur présence, des pratiques agricoles doivent être mises en place (zone sans fauche ou sans travail du sol, semis de bandes fleuries spécifiques, etc). Des aménagements d’infrastructures agro écologiques peuvent ensuite être préconisés selon les problématiques. Cf : principales actions envisagées.  

 3) COMMUNIQUER sur ses pratiques 

Auprès des consommateurs : produire en tenant compte de la biodiversité et avec des pratiques agroécologiques est un gage d’acceptabilité de l’agriculture auprès des consommateurs. 

Auprès du monde agricole : au sein de leurs mondes sociotechniques respectifs, les agriculteurs du groupe permettent la diffusion des pratiques agroécologiques étudiées dans le groupe (accueil des auxiliaires, etc). 

 

MODALITÉS PÉDAGOGIQUES
Intervenants agronomes, échanges entre les participants, etc.

 

PRÉ-REQUIS
Aucun.

DATES

A définir

DURÉE

2 jours

LIEU

Chez des stagiaires

PUBLIC VISÉ

Les agriculteurs.rices producteurs.rices de céréales biologiques et personnes qui préparent une conversion, de la Mayenne.

INTERVENANTS

à définir par le groupe

RENSEIGNEMENTS

Chloé Lemonnier
Animatrice technique
animateurtechnique@civambio53.fr
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